"L'insurrection du Capitole"
On entend tout et n’importe quoi sur ce qui s’est passé le 6 janvier 2021 au Capitole, siège du Congrès. Or, voici les fait et rien que des faits.
Ce jour là le vice-président Mike Pence doit proclamer au Capitole que Joe Biden est le nouveau Président des États-Unis., et c’est aussi le jour où Le Président Donald Trump convie ses partisans à se rassembler pacifiquement devant le Capitole pour protester contre une élection que bien des gens estiment avoir été volée.
Pendant que Trump parle à la foule rassemblée devant la Maison Blanche, distante de 2 miles du Capitole, des individus, habillés en noir, parmi ceux déjà rassemblés devant le siège du Congrès, insultent les pandores chargés au maintien de l’ordre. En réaction ceux-ci tirent des grenades lacrymogènes dans une foule qui ne bronche pas. Les insultants exhortent les manifestants à prendre d’assaut le Capitole. Deux d’entre eux, gravissent le mur du bâtiment tout en encourageant les autres à en faire de même. Une dizaine de gens, se piquent au jeu ; et la presse les photographie. D’autres révoltés utilisent des pics à glace et des marteaux de vitrier pour briser les vitres de plusieurs fenêtres du Capitole. Ils entrent et ouvrent les portes. La police n’intervient pas. A l’exception d’une porte-fenêtre dans un couloir, rien n’est brisé à l'intérieur. Une femme, Ashli Babbitt, tente aussi d’entrer,mais un policier, au nom de Michael Byrd. pour une raison non élucidée jusqu’à ce jour, lui tire une balle. Atteinte à la gorge, elle mourra peu après. Ce sera la seule victime lors du soit-disant assaut du Capitole.
Lorsque les manifestants sortent du Capitole, à l’instigation des pandores, ceux-ci contre toute attente font usage de gaz lacrymogène et deviennent agressifs. Bousculant les sortants, deux d’entre eux frappés d’une crise cardiaque perdent la vie. Dans la précipitation, une femme chute et est piétinée à mort. Quatre décès sont donc à déplorer lors de la manifestation.
Le rouleau compresseur de la propagande démocrate est lancé. Les politiciens du parti démocrate ainsi que les grands médias américains leur emboîtent le pas pour parler d’insurrection afin de renverser la république états-unienne. Ils accuseront Trump de tous les maux.
Les hommes en noir qui ont insulté les policiers et qui ont tenté d’exciter la foule, puis ont brisé les vitres et ouvert les portes ont disparu, et aucun d’eux n’a été arrêté. L’un d’eux qui a été identifié est un Ancien agent du FBI. Un autre a aussi été identifié comme étant un chef de brigade Antifa. Ils n’ont pas été inquiétés par la justice, et ne le seront sans doute jamais, car ce ne sont pas des partisans de Trump.
Voilà en résumé ce que les médias nomment "L'insurrection du Capitole".
David Frenkel