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Ma réponse à Zvi Bar’el

En préambule, je rappelle que selon la définition du dictionnaire Reverso, BLOCUS = blocage d'un pays, d'une région, d'un port pour empêcher tout transport de marchandises vers ou venant de ce pays ou région. Selon le dictionnaire Larousse, BLOCUS = Investissement d'une ville, d'un port, d'une position, d'un pays pour lui couper toute communication avec l'extérieur.

Pour répondre à Zvi Bar’el, auteur d'un article intitulé "Des esprits israéliens assiégés" paru dans le  journal Haaretz, traduit, et mis en ligne par une personne blogueuse :

1) Au sens étymologique du terme, il n’y a jamais eu de blocus imposé par Israël à la Bande de Gaza, mais un embargo imposé par celui-ci sur certaines matières premières pouvant servir à renforcer l’arsenal militaire d’un groupe classé internationalement comme terroriste, et qui selon sa charte à comme but de rayer Israël de la carte.

2) Lorsque l'Etat hébreu se défend se n'est pas une guerre sainte. Sachons raison garder.

3) Si comme, Zvi Bar’el le rapporte, Israël a mis en échec l’importation de 23 tonnes de bonbons au chocolat, c’était, comme l’a signalé le ministre de la défense Benny Gantz : « pour empêcher tout renforcement financier du Hamas, qui établit une force militaire, au lieu de se préoccuper des habitants de la bande de Gaza qui subissent le fardeau économique. »

4) Le retour de deux civils prisonniers et les corps de deux soldats, n’est pas une condition pour la reconstruction de Gaza. La preuve : le 26 août dernier, Le Cogat, organe israélien chargé des opérations civiles dans les Territoires palestiniens, a annoncé assouplir les restrictions sur le transfert de marchandises, notamment de nouveaux véhicules, vers l’enclave palestinienne via le point de passage de Kerem Shalom. Les autorités israéliennes ont également annoncé qu'ils ont permis à 1000 hommes d’affaires gazaouis supplémentaires de sortir de la bande de Gaza via le point de passage d’Erez, au nord de l’enclave. Ces décisions sont liées au «maintien de la stabilité sécuritaire dans la région», a encore précisé le Cogat.

5) Pour conclure : Zvi Bar’el ne se rend pas compte que si les hordes sauvages appartenant à des groupes, tels que le Hamas, devaient par malheur envahir l’État juif, aucune distinction ne serait faite entre juifs de gauche et de droite, tous seraient assassinés. L'histoire nous a appris que pour les antisémites « un juif est un juif »

Voici un court documentaire qui pourrait mettre de l'ordre dans les idées de Zvi Bar’el et de bien d'autres :

https://youtu.be/0-W3KTdElBY

David Frenkel

 

 

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