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Le Parti Démocrate américain n'est pas au bout de ses peines

Ceux qui chantent sur tous les toits que les accusations de fraude électorale contre les démocrates qui ont été engagées devant les tribunaux par Donald Trump ont été rejetées doivent déchanter. Matthew Vadum, dans un article écrit pour The Epoch Times affirme que deux tiers des accusations de fraude électorale engagées contre le Parti démocrate ont été gagnées par l’ex président américain. En effet, sur 81 accusations 11 ont été retirées ou regroupées et 23 ont été rejetées. Sur les 47 poursuites restantes, 22 ont été finalisées après que le tribunal ait entendu les arguments, examiné les preuves, puis rendu une décision. Sur ces 22 décisions, M. Trump ou les Républicains en ont gagné 15 et perdu 7. Il reste encore 25 accusations qui n’ont pas encore été définitivement tranchées. Suite : sur ttps://www.theepochtimes.com/trump-won-two-thirds-of-election-lawsuits-where-merits-considered_3688543.html?utm_source=newsnoe&utm_medium=email&utm_campaign=breaking-2021-02-07-4

Par ailleurs, l’ancien directeur par intérim du renseignement national, Richard Grenell, a déclaré à Newsmax TV que l’ancien président Donald Trump est désormais le chef de facto du Parti républicain voir https://www.newsweek.com/trump-does-want-run-again-says-former-acting-intelligence-chief-richard-grenell-1564007. La comédia del arte qui s’est jouée au Sénat pour destituer une troisième fois Donald Trump masque l’impuissance du Parti démocrate à venir à bout d’un homme avec qui ils auront encore à découdre, car il n’est pas mort, tant s'en faut.

Rappelons aussi au Parti démocrate qui prétend que Trump a été l'incitateur des violences au Capitole, et dont la destitution pour ce motif a échoué, que

  • Le FBI a récemment déclaré avoir les preuves que des groupes d’extrême droite avaient prévu de longue date d’intervenir au capitole le 6 janvier, ce qui innocente le président, accusé d’avoir incité l’insurrection lors de son discours.
  • Le discours du président l’innocente aussi : d’une part, il est protégé par le premier amendement, de plus, Trump avait clairement appelé à manifester pacifiquement, et enfin, un examen chronologique montre que les personnes qui ont écouté son discours n’avaient pas le temps matériel de se rendre au capitole quand l’émeute a éclaté : les émeutiers ne pouvaient pas à la fois avoir assisté au discours du président et envahi le capitole.
  • Le directeur de la police du capitole a témoigné devant une commission du sénat qu’elle avait été informée quelques jours avant le 6 janvier que des événements violents se préparaient, et elle a reconnu avoir sous-estimé la préparation de ses équipes. Trump ne peut donc pas être responsable le 6 janvier, d’incidents décidés avant cette date.

David Frenkel

 

 



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