Explosion de Beyrouth : ce que vous ne lirez pas... II
Beyrouth : le jour d’après, pas pire que le jour d’avant
Publié par Dreuz Info le 6 août 2020
Le dirigeant du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a souligné le mardi 17 février 2016, que bien que le groupe ne cherche pas en ce moment la guerre contre Israël, il pourrait battre l’État juif dans un futur conflit en ciblant les réservoirs d’ammoniaque de Haïfa, entraînant des pertes massives – et créant du même coup un désastre écologique.
« Ce serait exactement comme une bombe atomique, et nous pouvons dire que le Liban a aujourd’hui la bombe nucléaire, vu que chaque roquette qui pourrait frapper ces réservoirs est capable de créer l’effet d’une bombe nucléaire », déclarait le terroriste.
Quelques heures après la menace explicite de Nasrallah de frapper Haïfa, le ministre de l’Environnement Avi Gabbai a déclaré qu’il avait ordonné que les réserves d’ammoniaque soient déplacées dans le désert du Néguev.
Seulement voilà, cette dite bombe nucléaire dont Nasrallah voulait se servir contre Israël nichait apparemment quelque part dans l’arsenal militaire souterrain du Hezbollah… Une main connue de DIEU seulement a déclenché le désastre, lequel ressemblait à s’y tromper à l’explosion d’une bombe atomique…. Et c’est le Liban, soumis, devenu l’instrument du Hezbollah, qui a subi hier l’impact de sa collaboration tacite…
Et si les renseignements israéliens sont bien informés, le Hezbollah, tout comme le Hamas, emmagasine ses armes au sein de la population civile, dans des réservoirs souterrains… En fait le Liban entier est un terrain miné…
Maya Khadra, journaliste, Prof PhD, reprenait mot pour mot les menaces de Nasrallah – Traduction :
« C’est simple, quelques-uns de nos missiles avec du nitrate d’ammonium engendreraient une explosion comme une bombe atomique…. et détruirait le port de Haïfa, décimant la population de la métropole…