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Campagne présidentielle américaine : ce que les médias nous cachent

Les médias dits "traditionnels" cherchent à formater l'opinion publique en publiant des informations de plus en plus biaisées, et développées avec une douteuse unanimité. Ce faisant, ils piétinent leurs devoirs déontologiques qui appellent à fournir aux gens toutes les données nécessaires afin qu'ils puissent se forger leurs propres idées sur l'actualité. Alors, concernant la campagne présidentielle américaine 2020, Dreuz info publie chaque jour les événements essentiels qui entourent cette élection, et cela sans aucun parti-pris, et n'en déplaisent à beaucoup, en se basant sur des faits, rien que sur des faits. Voici ce que l'on peut y lire au 95ème jour qui précède le scrutin :

Samedi 1er août – 95e jour

  • Le président Trump est à 50% de taux de popularité, soit 3 points de plus qu’Obama au même point de sa présidence.
  • Les conservateurs noirs viennent de lancer une campagne pour « dénoncer le raciste Joe Biden ».
  • Le président Trump a déclaré dans un tweet : « Dans l’Amérique de Joe Biden, vous et votre famille ne serez jamais en sécurité. »

    Dans un autre tweet, il a martelé que « La Sécurité intérieure ne quittera pas Portland tant que la police locale n’aura pas terminé le nettoyage des anarchistes et des agitateurs ! »
  • Barack Obama est entré plus visiblement dans la campagne, pour compenser l’absence du candidat, qui semble toujours caché dans sa cave et publie un tweet de temps en temps – qui n’est probablement pas même écrit par lui, et ne donne aucune conférence de presse. Donc Obama est venu hypocritement dénoncer « la règle de flibustier », qui permet à un sénateur de garder la parole au Sénat afin d’empêcher le vote d’un projet de loi.

    En avril 2005, le sénateur Barack Obama a pris la parole devant le Sénat américain et s’est prononcé avec passion contre les efforts des républicains pour mettre fin à cette règle qui permet le débat.

    Cette semaine, Obama a fait exactement l’inverse lors des funérailles de John Lewis, affirmant que l’élimination d’un contrôle vital du pouvoir partisan était justifiée tant que les Démocrates obtenaient les politiques qu’ils souhaitaient.

    Obama a fait valoir que l’adoption d’une loi sur le « droit de vote » valait la peine de supprimer les normes contre-majoritaires.

    « Si tout cela nécessite d’éliminer la règle, une autre relique de Jim Crow, afin de garantir les droits divins de chaque Américain », a dit Obama, « alors c’est ce que nous devrions faire ». C’est-à-dire changer les règles et mettre un terme au débat démocratique.

Des Démocrates se révoltent

  • Des parents poursuivent le gouverneur de Californie pour avoir refusé d’ouvrir les écoles.
  • Lu sur Twitter :

« Mon mari est un démocrate. Je suis républicaine.

Quand nous nous sommes mariés il y a 20 ans, nous avons tous les deux accepté de ne pas mettre de politiques entre nous.

Aujourd’hui, il m’a demandé de mettre un panneau « Démocrates pour Trump » dans le jardin parce qu’il en a marre des Démocrates !

  • Le hashtag #DemocratsForTrump est devenu viral sur Instagram et Twitter.
  • Bari Weiss, la journaliste du New York Times qui a été contrainte à la démission par la violence de ses confrères, a déclaré sur HBO :

« Je ne veux pas vivre dans un monde où les opinions de la moitié du pays ne peuvent pas être entendues dans le journal. Et c’est là que nous allons, je le crains »

Joe Biden

  • Joe Biden a cité un hadith islamique appelant au jihad contre les incroyants (donc les Américains) lors d’une vidéoconférence lors de l’événement électoral des Frères musulmans américains.
  • Kamala Harris, pressentie comme vide-président vice-présidente dit qu’elle envisage de permettre au terroriste du marathon de Boston de voter, conformément aux demandes de l’extrême gauche.

    Ceci, après que la condamnation à mort de Dzhokhar Tsarnaev, le terroriste survivant du marathon de Boston, a été annulée par une cour d’appel fédérale aujourd’hui.
  • La page éditoriale du Wall Street Journal accuse Biden d’avoir trahi ses bailleurs de fonds modérés en acceptant le programme de dépenses de l’Etat de Bernie Sanders et le penchant anti-business d’Elisabeth Warren.

Coronavirus

  • La Chambre des représentants a approuvé un budget de dépenses colossal de 1,3 billion de dollars (848,896,400.00 euros) qui comprend 210 milliards de dollars de fonds d’urgence pour aider les agences fédérales à lutter contre la pandémie, en plus du financement d’autres priorités.
  • Fitch Ratings a dégradé la perspective des États-Unis de « stable » à « négative » pour « refléter la détérioration continue des finances publiques américaines et l’absence d’un plan d’assainissement budgétaire crédible ».  Il n’a pas tenu compte de la très bonne tenue du marché boursier, ce qui est un fait important à mettre au crédit du président américain.
  • Trump a rappelé que « Nous avons plus de cas parce que nous faisons plus de tests. [Ne pas le dire], c’est l’or médiatique de la désinformation des médias !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Team 100 jours pour Dreuz.info.

Et pour la bonne bouche, ceci encore :

Publié par Magali Marc le 1 août 2020
 

Comme le démontre J.P. Grumberg dans un article récent, les preuves abondent que les risques de fraude du vote par correspondance sont nombreuses.

Mais si le Président Trump s’était contenté de dire cela et de citer les mêmes preuves que JP Grumberg, ses adversaires gauchistes, par esprit de contradiction, auraient réagi en exigeant que le vote par correspondance soit généralisé ! Alors M. Trump a eu une idée de génie : suggérer dans un tweet que les élections soient reportées ! Les réactions ne se sont pas fait attendre !

Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article d’Andrea Widburg, paru sur le site d’American Thinker, le 31 juillet.

Trump a fait preuve de ruse en lançant dans un tweet l’idée de reporter l’élection

Les gauchistes ont tous été agacés par un tweet de Donald Trump envoyé tôt jeudi.

Dans ce tweet, après avoir critiqué le vote par correspondance, il a suggéré qu’il serait peut-être bon de retarder l’élection jusqu’à ce que les gens puissent voter en personne.

Les gauchistes, comme on pouvait s’y attendre, ont été outrés et ont déversé des tonnes de messages afin d’expliquer pourquoi cela n’est pas possible. Ils ne se rendaient probablement pas compte qu’on se jouait d’eux et qu’ils ont, à leur insu, été chargés de faire valoir les arguments de M. Trump destinés à envoyer les électeurs dans les isoloirs le 3 novembre.

Une des choses dont les opposants ne se rendent pas compte, c’est qu’ils sont incroyablement faciles à manipuler. Quelqu’un qui dit toujours « non » est tout autant une marionnette que la personne facile à convaincre qui dit toujours « oui ».

Si vous dites « pas X » chaque fois que je dis « X », je n’ai qu’à dire « pas X » si je veux vous faire changer d’avis. C’est un principe aussi vieux que Bugs Bunny faisant croire au chasseur, Elmer Fudd, que c’est la saison de la chasse au canard et que le chasseur va aller abattre Daffy Duck qui s’est déguisé en lapin sans savoir que Bugs Bunny a changé la pancarte pour annoncer la chasse au lapin !

En gardant à l’esprit ce principe, parlons de ce que Donald Trump a fait.

Le point de départ est que les Démocrates ne croient pas pouvoir remporter l’élection en novembre. Ils doutent des sondages qui penchent fortement en leur faveur, surtout parce la plupart des firmes de sondages enquêtent au niveau national plutôt que par État, ignorant ainsi le Collège électoral ; et ils demandent à n’importe qui de donner son opinion au lieu de questionner les électeurs inscrits ou probables.

Les Démocrates avertis mettent en garde leurs collègues contre une trop grande confiance envers les sondages.

Biden pose également problème. Si on met de côté son penchant pour les ségrégationnistes des années 1970, ainsi que le fait qu’il soit à l’origine de l’emprisonnement de plus d’hommes noirs que tout autre président depuis la Confédération, il reste qu’il perd pied un peu plus de minutes en minutes.

Les électeurs se désintéressent complètement de lui.

Que faites-vous si vous ne pouvez pas gagner honnêtement, que vous n’avez pas de principes moraux et que votre seul but est le pouvoir ? Vous trichez. Dans un système de vote traditionnel – où les gens qui se présentent aux bureaux de vote et, dans de nombreux États, doivent présenter une pièce d’identité – la fraude est, eh bien, difficile.

Pour les Démocrates, le virus de Wuhan a donc offert une merveilleuse opportunité. Ils ont eu l’idée de génie d’imposer l’interdiction du vote en personne aux États-Unis.

Certains Démocrates proposent que les États envoient des bulletins de vote par courrier à tous ceux qui ont un permis de conduire (y compris, vraisemblablement, tous les étrangers en situation irrégulière dans les 15 États qui leur donnent un permis et tous ceux qui, selon eux, ne savent pas comment obtenir une pièce d’identité à présenter aux bureaux de vote).
Ensuite, les Démocrates promettent que toute personne inscrite sur les listes électorales et ne commettant pas de fraude renverra son bulletin de vote par la poste.

Les possibilités de fraude sont illimitées.

Les gauchistes insistent sur le fait qu’il n’y a pas de fraude (vous pouvez facilement trouver les citations car les moteurs de recherche les affichent en tête de liste), mais la réalité dit le contraire.

À New York, un mois après les primaires, le grand nombre de bulletins de vote par correspondance légitimement obtenus a fait qu’il n’y a toujours pas de gagnant. Rien qu’au cours des quatre dernières élections, 28 millions de bulletins de vote par correspondance ont été perdus à jamais.

Qu’à donc fait Trump ? Il a envoyé un tweet dans lequel il s’inquiète des risques liés aux élections par correspondance et a suggéré de reporter l’élection jusqu’à ce que les craintes liées au virus aient disparu.

En quelques secondes, les médias ont insisté sur le fait que l’élection devait se dérouler comme prévu. Leur hystérie a alerté les junkies pas très politisés qu’il y a là un problème.

Ces électeurs ne veulent pas être privés de leur droit de vote lors d’une élection importante.

Trump a parié qu’ils vont se dire :

« Si je peux aller chez Walmart pour acheter des pommes de terre, je peux aller voter dans mon bureau de vote ».

Comme Trump l’a expliqué plus tard dans un tweet :

« Je suis heureux d’avoir pu convaincre les très malhonnêtes médias de commencer enfin à parler des RISQUES que fait peser sur notre démocratie le dangereux vote par correspondance généralisé (et non le vote par correspondance en cas de déplacement, que je soutiens totalement !) ».

Les médias, c’est Daffy Duck. Trump, c’est Bugs Bunny au carré.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Sources:

https://www.americanthinker.com/blog/2020/07/trump_had_an_intelligent_goal_when_he_tweeted_about_delaying_the_election_.html
https://www.dreuz.info/2020/07/31/trump-suggere-de-reporter-les-elections-le-vote-par-correspondance-est-il-risque-analyse/

 
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