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Joseph Daher : merci de revoir vos classiques

L’ambassadeur d’Israël, Danny Danon à l’ONU: N’appelez pas la souveraineté d’Israël « annexion » !

 
 
 
 

Dans quelques semaines, le gouvernement israélien commencera à discuter de l’extension de la loi israélienne à certaines parties de la Judée et de la Samarie. Ceux qui appellent cela «l’annexion» le dénoncent souvent comme une violation flagrante du droit international, ce qui mettra certainement fin à toute perspective de paix avec les Palestiniens. Cependant, même une simple lecture de l’histoire révèle que c’est l’utilisation continue du terme « annexion » – qui, intentionnellement ou non, prive effectivement le peuple juif du droit d’exercer la souveraineté sur notre patrie qui est épouvantable et la réalité fait de la paix une possibilité de plus en plus éloignée.

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Il n’y a pas d’accord de paix entre Israël et les Palestiniens parce que les dirigeants de l’Autorité palestinienne refusent de reconnaître la revendication indigène du peuple juif sur la Terre d’Israël. Les déclarations et politiques officielles de l’Autorité palestinienne, ainsi que les manuels pédagogiques et les émissions de télévision, en témoignent. Si les Juifs sont vraiment des colons européens, comme le prétendent les Palestiniens, alors ils doivent être expulsés, tout comme les Britanniques, les Français, les Ottomans et les autres puissances coloniales.



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L’ambassadeur d’Israël, Danny Danon à l’ONU: N’appelez pas la souveraineté d’Israël « annexion » !

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L’ambassadeur d’Israël, Danny Danon à l’ONU: N’appelez pas la souveraineté d’Israël « annexion » !

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Avant toutes choses une question : pourquoi la zone A de la Judée Samarie, qui est entièrement sous juridiction et administration palestinienne, est-elle "Judenrein" (sans juifs), aucun israélien, reconnaissable comme tel, ne peut s'y aventurer de peur de se faire lyncher, et ne parlons pas d'y acheter un lopin de terre, alors que nombre d'arabes peuvent résider sans problème dans la zone C de la Judée Samarie qui est entièrement sous contrôle israélien ? Poser cette question, c'est déjà pointer sur la partialité de de votre article. Par ailleurs, Netanyahou n'a jamais déclaré l’année dernière qu’« Israël n’est pas un État pour tous ses citoyens » Mais que c'était un État pour les Juifs, comme la France est État pour les Français, l'Italie, un État pour les Italiens, la Suisse, un État pour les Suisses, etc. Nuance donc ! les Arabes y sont citoyens à part entière. Ils sont représentés à la Kneset, et peuvent même manifester contre Israël dans la rue en portant des drapeaux palestiniens !!! Imaginez cela dans d'autres pays !!!  Et maintenant démontrons l'incohérence de vos propos :

Emmanuel Navon. Cisjordanie: «Une annexion par Israël serait justifiée et nécessaire»

En annexant les implantations et la vallée du Jourdain, Israël créera les conditions d’une solution de deux États acceptable pour une majorité d’Israéliens, argumente l’auteur Emmanuel Navon.

L’auteur Emmanuel Navon.
Emmanuel Navon

L’éventuelle extension de la souveraineté israélienne (ou «annexion») à une partie de la Judée-Samarie (désignée comme «Cisjordanie» en français, terme qui consacra l’annexion de ce territoire par la Transjordanie en 1950) soulève deux questions distinctes sur ce projet: est-il souhaitable? ; est-il légal? Ma réponse à ces deux questions est affirmative.

L’annexion est souhaitable car elle lèvera un obstacle à la solution des deux États. Le fait que cette phrase vous laisse sans doute bouche bée prouve la pérennité des mythes. Car l’idée selon laquelle la solution des deux États sera fondée sur le retour d’Israël aux lignes d’armistice de 1949, sur la division de Jérusalem, et sur le retour des descendants des réfugiés palestiniens en Israël est un mythe. Aucun gouvernement israélien n’acceptera un État ennemi et armé surplombant Tel Aviv et traversant Jérusalem ; le délogement d’un demi-million d’Israéliens ; et l’immigration en Israël de la troisième génération des réfugiés arabes de 1948.

Tant que les Palestiniens et les gouvernements qui les soutiennent insisteront sur ces chimères, il n’y aura pas de solution de deux États. En revanche, il est une solution de deux États qui est acceptable pour une majorité d’Israéliens: un État palestinien démilitarisé ; une souveraineté israélienne sur les blocs d’implantations, et le maintien de la présence israélienne dans la vallée du Jourdain ; la préservation d’une Jérusalem unifiée sous souveraineté israélienne mais sans les quartiers périphériques à l’est et au nord de la ville ; l’intégration des réfugiés palestiniens dans leur futur État. Ces principes sont précisément ceux qu’Yitzhak Rabin avait énoncés peu avant son assassinat en novembre 1995. Ils ont été repris un par un par le plan Trump. Une telle annexion ne serait pas contraire au droit international car la Cisjordanie n’était pas un territoire souverain avant sa conquête par Israël en juin 1967

Les Palestiniens n’acceptent certes pas ces principes. Mais ils n’acceptèrent pas non plus les principes de Bill Clinton en décembre 2000, ceux d’Ehoud Olmert en septembre 2008, et ceux de John Kerry en février 2014 – principes qui eussent établi un État palestinien sur la totalité (si l’on inclut les échanges territoriaux prévus entre les deux États) de la Cisjordanie et de Gaza, avec Jérusalem-Est pour capitale. Les Palestiniens n’acceptèrent pas ces principes avantageux entre autres parce qu’ils pensaient, à juste titre, qu’ils finiraient par obtenir une offre encore meilleure après avoir dit non. Tant que le temps jouait en leur faveur, justement parce que les propositions israéliennes et américaines ne cessaient de leur être plus favorables, les Palestiniens pouvaient se permettre d’être intransigeants. Trump a mis fin à cette dynamique qui ne cesse, depuis deux décennies, de nous éloigner de la solution des deux États.

En annexant les blocs d’implantations et la vallée du Jourdain, et en gelant toute construction dans les territoires destinés à l’État palestinien, Israël créera les conditions d’une solution de deux États acceptable pour une majorité d’Israéliens. Ce sera ensuite aux Palestiniens de décider s’ils préfèrent le statu quo ou un État démilitarisé qui ne paiera pas des salaires à vie aux familles des terroristes et qui n’éduquera pas ses enfants dans la haine des Juifs.

Une telle annexion ne serait pas contraire au droit international car la Cisjordanie n’était pas un territoire souverain avant sa conquête par Israël en juin 1967. Lorsque la Grande-Bretagne mit fin à son mandat en mai 1948, elle créa un vide juridique qui fut rempli par Israël, par la Jordanie, et par l’Égypte suite aux accords d’armistice de 1949. La Jordanie conquit une partie de l’ancien mandat britannique en 1948, puis l’annexa en 1950. Or cette annexion ne fut jamais reconnue par la communauté internationale (à l’exception de la Grande-Bretagne et du Pakistan) et donc la Cisjordanie ne devint pas un territoire souverain. Quant à ceux qui affirment s’opposer à l’unilatéralisme par principe, à eux d’expliquer pourquoi ils ne s’y opposèrent pas lorsque Israël se retira unilatéralement de la Bande de Gaza en 2005

Par ailleurs, la Jordanie conquit ce territoire dans une guerre d’agression en 1948, tandis qu’Israël le conquit dans une guerre de légitime défense en 1967. Enfin, ce territoire faisait partie de l’ancien mandat britannique que la Société des Nations avait destiné au foyer national juif en 1922. Les accords d’armistice de 1949 n’établirent pas une frontière internationale entre Israël et la Jordanie, mais une ligne de cessez-le-feu. La résolution 242 du Conseil de sécurité de l’ONU, adoptée en novembre 1967, n’exige pas d’Israël un retour à cette ligne, et la résolution 233, adoptée en 2016, permet des ajustements frontaliers mutuellement agréés.

Le plan Trump prévoit des échanges territoriaux (ou annexions mutuelles) de tailles semblables entre Israël et l’État palestinien, ainsi qu’une continuité territoriale entre la Bande de Gaza et la Cisjordanie. En annexant même 30 % de la Cisjordanie (le maximum prévu par le plan Trump), Israël n’ajouterait qu’une infime population arabe à son territoire, et cette population se verrait attribuer la citoyenneté israélienne à l’instar des Arabes israéliens et des Druzes du Golan. Ces quelques milliers d’habitants de la «zone C» instaurée par les accords d’Oslo s’ajouteraient aux deux millions d’Arabes israéliens représentés à la Knesset, à la Cour suprême, et dans la fonction publique.

L’Union européenne a imposé des sanctions économiques à la Russie pour son annexion de la Crimée, mais la Crimée faisait partie d’un territoire souverain contrairement à la Cisjordanie. Et l’Union européenne ne saurait invoquer le principe de cohérence puisqu’elle ne sanctionne pas la Turquie pour son occupation partielle d’un membre de l’Union européenne, à savoir Chypre. Quant à ceux qui affirment s’opposer à l’unilatéralisme par principe, à eux d’expliquer pourquoi ils ne s’y opposèrent pas lorsque Israël se retira unilatéralement de la Bande de Gaza en 2005.

Ceux qui brandissent la menace de «représailles» en cas d’annexion ne semblent toujours pas avoir compris que les Israéliens, après avoir payé hier le prix intolérable de leur naïveté, sont prêts à payer aujourd’hui le prix tolérable de leur réalisme. Comme le disait Golda Meir, «nous préférons vos condamnations à vos condoléances».

Emmanuel Navon enseigne les relations internationales à l’Université de Tel-Aviv et au Centre interdisciplinaire de Herzliya. Membre du Likoud, il est également chercheur au Forum Kohelet et à l’Institut de Jérusalem pour la stratégie et la sécurité (deux think-tanks conservateurs).

Source: FigaroVox. 30 juin 2020.

Et pour terminer :

Les Juifs n’ont pris la terre de personne. Par Joseph Farah

Publié le 9 Mars 2013

Voici un témoignage d’une rare lucidité de  Joseph Farah, journaliste arabe  américain, publié en anglais sur le site  www.worldnetdaily.com  

 

Nous savons déjà  que Volney, Alexander Keith, J.S. Buckingham, Alphonse de Lamartine, Mark Twain et Arthur Stanley s’accordent tous sur le fait que la ‘Palestine’ était  » un désert parsemé de rares bourgades ». 

Gustave Flaubert nous rapportait même que « Jérusalem est un charnier entouré de murailles. Tout y pourrit, les chiens morts dans les rues, les religions dans les églises. Il y a quantité de merdes et de ruines. Le juif polonais avec son bonnet de renard glisse en silence le long des murs délabrés, à l’ombre desquels le soldat turc engourdi roule, tout en fumant, son chapelet musulman…«  

 

En tant que critique arabe américain le plus en vue, en ce qui concerne Yasser Arafat et les objectifs-bidon « palestiniens », je reçois beaucoup de courrier haineux et plus que ma part de menaces de mort. La plupart de ces attaques – au moins celles qui se donnent la peine d’aller au-delà des insultes et de l’obscénité – disent seulement que je ne comprends pas ces pauvres Arabes qui ont été déplacés, chassés de leurs maisons et transformés en réfugiés par les Israéliens, ni n’ai de compassion pour eux. 

« Permettez-moi d’affirmer clairement et simplement ceci: les Juifs en Israël n’ont pris la terre de personne.  

 

Quand Mark Twain visita la Terre Sainte au XIXe siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd’hui sous le nom d’Israël était pratiquement désert (1)  

 

Au début du XXe siècle cela commença à changer. Des Juifs venus du monde entier se mirent à revenir dans leur patrie ancestrale, la Terre Promise que Moïse et Josué avaient conquise, des millénaires auparavant, ainsi que le croient Chrétiens et Juifs, sous les ordres directs de Dieu. Cela ne veut pas dire qu’il n’y ait pas toujours eu une forte présence juive sur cette terre, en particulier dans et autour de Jérusalem. En 1854, selon le compte-rendu publié dans le New York Tribune, les Juifs représentaient les deux tiers de la population de cette ville sainte. Quelle est la source de cette statistique ? Un journaliste, envoyé spécial au Moyen-Orient pour le Tribune. Il s’appelait Karl Marx, oui ce Karl Marx là.

 

Un guide de la Palestine et de la Syrie, publié en 1906 par Karl Baedeker, illustre ce fait : alors même que l’Empire Ottoman musulman régnait sur la région, la population musulmane de Jérusalem était minime. Ce livre estime la population totale de la ville à 60.000 habitants, dont 7.000 Musulmans, 13.000 Chrétiens et 40.000 Juifs. « Le nombre de Juifs s’est considérablement accru durant les dernières décennies, malgré l’interdiction d’immigrer ou de posséder des terres qui leur est faite », déclare ce livre. Bien que les Juifs y soient persécutés, ils venaient quand même à Jérusalem et y représentaient la vaste majorité de la population, déjà en 1906. Et bien que les Musulmans proclament aujourd’hui Jérusalem comme la troisième ville sainte de l’Islam, quand la ville était sous régime musulman, ils ne lui manifestaient que très peu d’intérêt. 

 

Lorsque les Juifs vinrent, drainant les marécages et faisant fleurir les déserts, un phénomène intéressant se produisit. Les Arabes suivirent. Je ne les en blâme point. Ils avaient de bonnes raisons de venir. Ils y trouvaient des emplois. Ils venaient pour la prospérité. Ils venaient pour la liberté. Et ils vinrent nombreux. 

Winston Churchill observa en 1939: « Ainsi, loin d’y être persécutés, les Arabes sont arrivés en masse dans ce pays, s’y sont multipliés jusqu’à ce que leur population augmente même plus que les communautés juives de par le monde n’avaient pu mobiliser de Juifs. »  

 

Puis arriva 1948 et la grande partition. Les Nations Unies proposèrent la création de deux Etats dans la région, l’un juif, l’autre arabe. Les Juifs l’acceptèrent avec gratitude. Les Arabes la rejetèrent férocement et déclarèrent la guerre.

Les leaders arabes demandèrent aux Arabes de quitter la zone pour ne pas être pris dans les échanges de tirs. Ils pourraient revenir dans leurs maisons, leur dit-on, après qu’Israël soit écrasé et les Juifs détruits. Le résultat ne fut pas celui qu’ils escomptaient. Selon les estimations les plus courantes, plusieurs centaines de milliers d’Arabes furent déplacés du fait de cette guerre, mais non par une agression israélienne, non par un accaparement des propriétés foncières par les Juifs, non par un expansionnisme israélien. En réalité, il existe de nombreux documents historiques montrant que les Juifs ont instamment demandé aux Arabes de rester et de vivre avec eux en paix. Mais, tragiquement, ces derniers choisirent de partir.

 

54 ans plus tard, les enfants et petits-enfants de ces réfugiés vivent encore beaucoup trop souvent dans des camps de réfugiés, et ce non du fait de l’intransigeance israélienne, mais parce qu’ils ont été abusivement utilisés comme outil politique par les puissances arabes. Ces pauvres malheureux auraient pu être installés en une semaine par les riches Etats arabes pétroliers, qui contrôlent 99,9% de la totalité des territoires du Moyen-Orient, mais ils sont gardés comme de véritables prisonniers, remplis de haine envers la mauvaise cible, les Juifs, et utilisés comme armes en tant que martyrs-suicide par les détenteurs arabes du pouvoir.

 

Telle est la véritable histoire moderne du conflit arabo-israélien. Jamais les Juifs n’ont arraché les familles arabes de leurs foyers. Quand la terre avait un détenteur, ils en achetaient les titres de propriété largement excessifs, pour pouvoir avoir un lieu où vivre à l’abri des persécutions qu’ils avaient subies partout dans le monde.

Dire que les Israéliens ont déplacé qui que ce soit est un énorme et flagrant mensonge dans d’une longue série de mensonges et de mythes qui ont amené le monde au point où il est prêt à commettre, encore une fois, une autre grande injustice envers les Juifs. »

 

Joseph Farah

 

(1) « La terre d’Israël (baptisée ‘Palestina’ par l’Empire romain et rebaptisée ‘Palestine’ par ses descendants anglo-saxons) était quasiment vide et désolée avant les grands mouvements migratoires de la fin du XIXe siècle, comme en témoignèrent tous les archéologues et écrivains qui la visitèrent à l’époque. Thomas Shaw, Constantin espondance (http://expositions.bnf.fr/veo/cabinet/citation.htm)

 

Remarque du Collectif  Arabes Pour Israël : 

Enfin des personnes qui sont prêts à dire une vérité que d’autres non pas envie d’entendre de peur de représailles mais qui n’en pensent pas moins! Heureusement qu’il y a des hommes et des femmes qui défient l’ordre établit de ses gangs poussiéreux et primitifs qui justifient  l’obscurantisme par la culpabilisation. Il est tant que cela change!! Cela fait plus de 2000 ans que ça existe. 

A paru dans Arabes pour Israël, lien joint :

 

Source : http://arabespourisrael.unblog.fr/2009/04/09/les-juifs-nont-pris-la-terre-de-personne-par-joseph-farah/

 

http://www.voyagesphotosmanu.com/Complet/images/carte_geographique_israel.gif

 

Rédigé par Gérard Brazon

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Dans quelques semaines, le gouvernement israélien commencera à discuter de l’extension de la loi israélienne à certaines parties de la Judée et de la Samarie. Ceux qui appellent cela «l’annexion» le dénoncent souvent comme une violation flagrante du droit international, ce qui mettra certainement fin à toute perspective de paix avec les Palestiniens. Cependant, même une simple lecture de l’histoire révèle que c’est l’utilisation continue du terme « annexion » – qui, intentionnellement ou non, prive effectivement le peuple juif du droit d’exercer la souveraineté sur notre patrie qui est épouvantable et la réalité fait de la paix une possibilité de plus en plus éloignée.

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Dans quelques semaines, le gouvernement israélien commencera à discuter de l’extension de la loi israélienne à certaines parties de la Judée et de la Samarie. Ceux qui appellent cela «l’annexion» le dénoncent souvent comme une violation flagrante du droit international, ce qui mettra certainement fin à toute perspective de paix avec les Palestiniens. Cependant, même une simple lecture de l’histoire révèle que c’est l’utilisation continue du terme « annexion » – qui, intentionnellement ou non, prive effectivement le peuple juif du droit d’exercer la souveraineté sur notre patrie qui est épouvantable et la réalité fait de la paix une possibilité de plus en plus éloignée.

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