Alors, que la France est en proie aux convulsions sociales, aucun homme politique de l’opposition, aucun chef syndicaliste, ne vitupère contre certaines dépenses dispendieuses de l’État français, et en particulier celles qui ne font qu’attiser le conflit israélo-arabe.

Et bien que la Suisse, les pays-Bas et la Belgique aient décider de suspendre temporairement leurs contributions à l’UNWRA (L’Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens) en attendant la conclusion de l’enquête concernant les accusations de mauvaise gestion et d’abus d’autorité, la France, elle, a doublé son apport qui s’élève en 2019 à 20millions d’euros (https://www.lemondejuif.info/2019/08/coup-de-tonnerre-la-belgique-suspend-ses-contributions-a-lagence-des-nations-unies-pour-les-refugies-palestiniens/). Les arabes ne sont pas aussi crédules que les Européens qui versent des sommes colossales à une organisation qui, comme le disait notre conseiller fédéral Ignazio Cassis, est un obstacle à la paix. Et soit dit en passant, aucun pays européen ne s’insurge contre le Liban, la Jordanie, la Syrie qui continuent de parquer leurs réfugiés palestiniens dans des camps immondes et leur refuse les droits fondamentaux octroyés à d’autres étrangers en matière d’éducation, d’emploi et de santé.

Par ailleurs, la France finance avec les autres pays européens les constructions illégales des arabes en zone C. Selon les accords d’Oslo II, cette zone est entièrement sous administration israélienne qui seule est responsable de la construction des infrastructures.

Aussi l’Union Européenne finance-t-elle l’Autorité palestinienne pour un montant de 1,2 milliards de US$, parmi lesquels, la France se trouve en haut de la liste des pays donateurs (http://www.france-palestine.org/Les-sources-de-financement-de-l). Pourtant, L’Autorité Palestinienne dépense 6 fois plus pour les terroristes que pour ses propres nécessiteux (https://www.europe-israel.org/2019/01/lautorite-palestinienne-depense-6-fois-plus-pour-les-terroristes-que-pour-ses-propres-necessiteux/).

Il est donc curieux que personne ne s’élève en France contre cette dilapidation des deniers publics, et cela, au détriment du bien-être du peuple.